"Computer games can't affect kids that much. I mean, if Pacman had affected us as kids we'd all be running around in darkened rooms, munching pills and listening to repetitive music." Marcus Brigstocke
samedi 4 avril 2009
Smells Like Teen Spirit
It's about that time of the year, when you see the end is close and you almost see all the packing you'll soon have to do; the goodbye, and another beginning. Well, at least that has been my typical end of the year since two years now, and even longer when you look at my personnal history.
With that "traditional" ending-waiting-beginning kind of process, there's always a sort of Bilan coming along. Last year's one has the shape of a list of what changed and what didn't.
Well, this year, it might sound weird to most people but more and more often I have been feeling like speaking English rather than French to express my feelings. For more practical or technical things I obviously still have to learn a lot of vocabulary and idioms, but in terms of spontaneity, I noticed that I tend to naturally turn to English. Strange, isn't it?
On a psychological point of view, one could argue that unlike my mother tongue, I had to make English mine, and therefore, I associated it with a more intimate part of me. Or maybe this is just too much thinking. Neverthless, there are many times when I just wish I could speak English to everyone, for it is a language that is more close to some of my emotions than French is sometimes.
Watching Spring-Preston by night through my opened window, smelling that very typical odour of fresh juicy grass and fresh foggy air, I had that nostalgy of last year's parties with a certain bunny. I am not sad that it's gone, I just realized it is a part of me now, as well as this language.
Sorry for those who don't understand everything, I don't really feel like that post should be translated, as a revenge I would take on times where I speak French when I would like to use English...
dimanche 29 mars 2009
Settle for a Draw(ing)
Après 3 semaines (et même 7 mois - arg!) de recherches, d'expérimentations, d'essais et autres explorations acharnés me voilà satisfaite de ma "final piece", càd. l'illustration finale, choisie pour être notée par mon prof. Sûrement, certains n'y verront qu'un dessin inachevé, peu fidèle à la réalité du corps humain... tant pis pour eux!
Pour moi, c'est le premier pas d'une recherche infinie autour de l'expression pIcturale qui est la mienne, dont le but n'est pas d'imiter, de reproduire trait pour trait l'anatomie humaine mais de suggérer ses contours, ses mouvements avec un brin de style et un trait fluide et simple mêlé à une recherche autour des textures, du rendu des matières; de pouvoir rendre avec un peu de poésie les idées qui tournent dans ma tête.
Ce que vous voyez là n'est pas tout à fait mon dessin final puisque, s'agissant d'une illustration, le fond est plus consistant. Toujours est-il que cela donne une bonne idée de l'aboutissement de mes recherche stylistiques.
Bien sûr, on reste très loin de la perfection mais, quand je repense à tout ce que le chemin parcouru je réalise que mon travail à mûri et peux encore évoluer... Banzaï!!!
After a 3 weeks intense research (actually, count it 7 months - sic), here I am, rather satified of my final piece. It might look simplistic, unfinished and unrealistic to some people but, to say the truth, it's just too bad for them!
For when I look at it, I see the first stage of an infinite research on pictorial expression and drawing style. My goal is not to picture a super realistic image of the human anatomy, it is more about suggesting its outline and movement with style and flowing lines, exploring textures. It is definitely about showing a poetic image of the ideas in my head.
The illustration above is not the exact final piece, which, as an illustration, had to be on a more consistant background but it gives a good idea of it.
Indeed, it is far from being perfect. Nevertheless, when I look at it, I am happy to see the work I have been through and to notice the real evolution of my work which makes me understand that it still can evolve for the best... Banzaï!
Pour moi, c'est le premier pas d'une recherche infinie autour de l'expression pIcturale qui est la mienne, dont le but n'est pas d'imiter, de reproduire trait pour trait l'anatomie humaine mais de suggérer ses contours, ses mouvements avec un brin de style et un trait fluide et simple mêlé à une recherche autour des textures, du rendu des matières; de pouvoir rendre avec un peu de poésie les idées qui tournent dans ma tête.
Ce que vous voyez là n'est pas tout à fait mon dessin final puisque, s'agissant d'une illustration, le fond est plus consistant. Toujours est-il que cela donne une bonne idée de l'aboutissement de mes recherche stylistiques.
Bien sûr, on reste très loin de la perfection mais, quand je repense à tout ce que le chemin parcouru je réalise que mon travail à mûri et peux encore évoluer... Banzaï!!!
After a 3 weeks intense research (actually, count it 7 months - sic), here I am, rather satified of my final piece. It might look simplistic, unfinished and unrealistic to some people but, to say the truth, it's just too bad for them!
For when I look at it, I see the first stage of an infinite research on pictorial expression and drawing style. My goal is not to picture a super realistic image of the human anatomy, it is more about suggesting its outline and movement with style and flowing lines, exploring textures. It is definitely about showing a poetic image of the ideas in my head.
The illustration above is not the exact final piece, which, as an illustration, had to be on a more consistant background but it gives a good idea of it.
Indeed, it is far from being perfect. Nevertheless, when I look at it, I am happy to see the work I have been through and to notice the real evolution of my work which makes me understand that it still can evolve for the best... Banzaï!
La Classe à l'Anglaise -The Brit' Touch
En ces temps de crise économique mondiale, quand le pouvoir d'achat est au centre des interrogations, les anglais, eux, ont trouvé la solution pour redonner du peps aux ventes... avec élégance! Du coup, je me suis demandé si une telle pub pourrait passer en France, sachant que le mot "threesome" est très connoté, un peu comme s'il y avait écrit, "tenté par une partouze"? sauf que c'est spécifiquement à trois... je n'ai pas trouvé d'équivalent français qui serve uniquement à des pratiques sexuelles... enfin bon, vous voyez de quoi il s'agit!
Surrounded by a global crisis, facing an exceptionnally low purchasing power, the Brit' found the solution to rejig sales... with elegance!
Surrounded by a global crisis, facing an exceptionnally low purchasing power, the Brit' found the solution to rejig sales... with elegance!
mardi 24 mars 2009
Our Time is Gonna Come - Carpe Diem (une carpe par jour?)
- A partir de maintenant, je vais essayer de traduire mes posts en anglais. Il y aura donc une version UK après le post en français.-
- From now on, I'll try to translate my posts in English. A translation should be available after the original post in French. Indeed, I'm not going to translate every single word, I'd rather express the overall meaning. Sorry for the future mispellings and other mistakes.-
N'ayez crainte, je ne me prend pas pour Paco Rabanne (bien que ses créations soient pour le moins spectaculaires). Pas de prédications fatalistes dans cet intitulé, une simple constatation. D'après ma maigre expérience et le peu de recul que j'essaie de maintenir, je pense pouvoir dire qu' il y à dans la vie des moments de suspens, d'attente où l'on assiste presque impuissant au déroulement des choses, à une évolution lente et un peu monotone.
Certes, tout peut arriver à tout instant comme une piqûre de rappel signifiant que tout est possible. Ces instants (personnellement ceux que je préfère) où tout s'emballe et où l'on marche plus ou moins à l'instinct, réagissant finalement au plus près de notre personnalité.
Ça me rappelle cette question que mon instructeur m'avait posée: tu préfère monter un cheval trop calme, ou trop fougueux? Bien sûr, je penche pour le second cas, l'adrénaline n'est pas comparable entre le travail d'un cheval qu'il faut assister en permanence, et celui d'un cheval qui en veut trop, qu'il faut retenir.
J'ai bien envie de comparer la vie à ces deux cas de figure (peut-être aussi que monter à cheval me manque vraiment)... on essaie de pousser les choses, plein d'une énergie qui paraît alors vaine, on attend d'être enfin embarqué dans un rythme effréné vers ces moments qui ne sont rien d'autres que ce qu'on appelle "la vie".
Je ne sais plus qui a dit, "la vie c'est ce qui se passe pendant qu'on fait des plans" (ou quelque chose dans ce goût là). En gros, la vie c'est l'imprévu. Mais alors, que sont ces moments d'attente? La vie aussi, mais celle qui donne le temps de réfléchir, de travailler sur soi-même, d'apprendre à admettre qu'on ne peut pas tout maîtriser, qu'il faut la plupart du temps avancer à tâtons. Bien sûr, ça donne du doute à moudre.
Mais en attendant, pourquoi ne pas essayer de faire du Beau pour ne pas sombrer dans l'ennui, dans la "désespérance" tant citée ces derniers jours (dans tous les journaux français?). Pourquoi ne pas se faire plaisir en faisant ce qu'on aime, ce qu'on veut, puisque de toute façon nous ne sommes pas maîtres de nos vies mais plutôt les passagers d'un voyage au long cours dont le but n'est as d'arriver à destination, mais d'apprécier le chemin.
I'm not trying to act as a seer. Neither as a fatalist. This is a simple observation. Our Time is Gonna Come, and it doesn't have to be heard as "The End is Nigh" - I am NOT Paco Rabanne (event though his designs are, for the least, theatrical). Understanding that my experience of life is short and generally doing my best to step back, I dare to say that life is full of moments of suspense, where the only thing one can do is wait, almost powerless, watching things happening in a slow, monotonous evolution.
Indeed, one has to keep in mind that everything is possible and that the unpredictable is likely to fall upon us at every moment. These moments (my favourite ones I have to say), where life bolts and where the instinct is the element of choice, where we are in fact closer to ourselves than we usually are, due to the urge to react...
Which makes me think of a question asked by my coach: would you prefer to ride a slow horse or a spirited one (that's the translation I found, and I have to say I think it reveals a lot)? Of course I voted with no hesitation for the second choice, higher in adrenalin. I'd rather hold (not so sure about the horse riding terms in English) a nervous horse than continuously push an slow one.
I like to compare these two situations (possibly because I miss horse riding so much). Life seems to be either about trying to push things, to make it happen with all our energy, which seems on the moment quite vain, looking forward to be caught in the frenzied rythm of these instants, as known as "Life".
Someone (I don't remember who) said that Life is actually what happens while one is making plans (or something in that style). That is to say, Life is the unpredictable. But then, what are these suspended moments? They are also pieces of Life, but the ones that give you time to think, to work on self-improvement, and above all to understand that you can't master everything and that, most of the time, you have to feel your way along. Of course, this is scary and triggers doubts.
But why don't we just use this time to do what we like to do, to try to put some Beauty in these moments of possible despair and boredom. Why not trying to do what we enjoy the most as we all know that we are not the masters of our lives but the passengers of a long haul journey where it's not about the destination, but about the trip?
- From now on, I'll try to translate my posts in English. A translation should be available after the original post in French. Indeed, I'm not going to translate every single word, I'd rather express the overall meaning. Sorry for the future mispellings and other mistakes.-
N'ayez crainte, je ne me prend pas pour Paco Rabanne (bien que ses créations soient pour le moins spectaculaires). Pas de prédications fatalistes dans cet intitulé, une simple constatation. D'après ma maigre expérience et le peu de recul que j'essaie de maintenir, je pense pouvoir dire qu' il y à dans la vie des moments de suspens, d'attente où l'on assiste presque impuissant au déroulement des choses, à une évolution lente et un peu monotone.
Certes, tout peut arriver à tout instant comme une piqûre de rappel signifiant que tout est possible. Ces instants (personnellement ceux que je préfère) où tout s'emballe et où l'on marche plus ou moins à l'instinct, réagissant finalement au plus près de notre personnalité.
Ça me rappelle cette question que mon instructeur m'avait posée: tu préfère monter un cheval trop calme, ou trop fougueux? Bien sûr, je penche pour le second cas, l'adrénaline n'est pas comparable entre le travail d'un cheval qu'il faut assister en permanence, et celui d'un cheval qui en veut trop, qu'il faut retenir.
J'ai bien envie de comparer la vie à ces deux cas de figure (peut-être aussi que monter à cheval me manque vraiment)... on essaie de pousser les choses, plein d'une énergie qui paraît alors vaine, on attend d'être enfin embarqué dans un rythme effréné vers ces moments qui ne sont rien d'autres que ce qu'on appelle "la vie".
Je ne sais plus qui a dit, "la vie c'est ce qui se passe pendant qu'on fait des plans" (ou quelque chose dans ce goût là). En gros, la vie c'est l'imprévu. Mais alors, que sont ces moments d'attente? La vie aussi, mais celle qui donne le temps de réfléchir, de travailler sur soi-même, d'apprendre à admettre qu'on ne peut pas tout maîtriser, qu'il faut la plupart du temps avancer à tâtons. Bien sûr, ça donne du doute à moudre.
Mais en attendant, pourquoi ne pas essayer de faire du Beau pour ne pas sombrer dans l'ennui, dans la "désespérance" tant citée ces derniers jours (dans tous les journaux français?). Pourquoi ne pas se faire plaisir en faisant ce qu'on aime, ce qu'on veut, puisque de toute façon nous ne sommes pas maîtres de nos vies mais plutôt les passagers d'un voyage au long cours dont le but n'est as d'arriver à destination, mais d'apprécier le chemin.
I'm not trying to act as a seer. Neither as a fatalist. This is a simple observation. Our Time is Gonna Come, and it doesn't have to be heard as "The End is Nigh" - I am NOT Paco Rabanne (event though his designs are, for the least, theatrical). Understanding that my experience of life is short and generally doing my best to step back, I dare to say that life is full of moments of suspense, where the only thing one can do is wait, almost powerless, watching things happening in a slow, monotonous evolution.
Indeed, one has to keep in mind that everything is possible and that the unpredictable is likely to fall upon us at every moment. These moments (my favourite ones I have to say), where life bolts and where the instinct is the element of choice, where we are in fact closer to ourselves than we usually are, due to the urge to react...
Which makes me think of a question asked by my coach: would you prefer to ride a slow horse or a spirited one (that's the translation I found, and I have to say I think it reveals a lot)? Of course I voted with no hesitation for the second choice, higher in adrenalin. I'd rather hold (not so sure about the horse riding terms in English) a nervous horse than continuously push an slow one.
I like to compare these two situations (possibly because I miss horse riding so much). Life seems to be either about trying to push things, to make it happen with all our energy, which seems on the moment quite vain, looking forward to be caught in the frenzied rythm of these instants, as known as "Life".
Someone (I don't remember who) said that Life is actually what happens while one is making plans (or something in that style). That is to say, Life is the unpredictable. But then, what are these suspended moments? They are also pieces of Life, but the ones that give you time to think, to work on self-improvement, and above all to understand that you can't master everything and that, most of the time, you have to feel your way along. Of course, this is scary and triggers doubts.
But why don't we just use this time to do what we like to do, to try to put some Beauty in these moments of possible despair and boredom. Why not trying to do what we enjoy the most as we all know that we are not the masters of our lives but the passengers of a long haul journey where it's not about the destination, but about the trip?
jeudi 19 février 2009
I'm alive!
Reprenant sans honte les parole d'une artiste internationale de la chanson, réputée pour son amour pour le kayak et les grabataires, je vous confirme le fait que je suis "alive". Alors que dehors des anglais au taux d'alcoolémie discutable se prennent pour des spartiates partant au combat pour le défilé des Thermopyles (Aoum, aoum aoum...erm erm), je fini tout juste mon dernier projet en date, the last one avant... LA PREPARATION DE MON PORTFOLIO POUR L ANNEE PROCHAINE (tatatataaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa) donc pression stress et autres challenge en tout genres. Voilà ce que ça donne, un projet qui avait pour consigne: prennez votre créateur préféré, étudiez et comprennez sa façon de travailler et... faites le contraire! Et ce, pour une collection de 5 pièces...qui ais-je donc bien pu choisir???
John Galliano indeed (aussi connu sous le nom du maîîîîîîîîîître)!
A vous de juger le résultat en attendant les prochains posts!
John Galliano indeed (aussi connu sous le nom du maîîîîîîîîîître)!
A vous de juger le résultat en attendant les prochains posts!
jeudi 4 décembre 2008
Ballade de Fin Novembre - L' Hiver Naissant
Comme il est de notoriété publique, mes week-ends sont pour le moins...calmes. Voire rasoirs. Voire même, pour reprendre l'expression de Pedro A., collègue portuguais de son état, consiste à attendre que le temps passe. Effrayant isn't it?
Mais va savoir pour quelle étrange raison le week end dernier ne m'a pas déprimée outre mesure du fait que j'ai eu droit à mon premier Fog Samedi et que Dimanche à été un magnifique premier jour d'hiver, illuminé par un soleil glacé. D'où ballade. D'où 350 millions de photos (ben oui, le givre c'est beau et en plus permet de travailler sa maîtrise du bokeh...).
Une bouffée d'air frais malgré sensation d'un moment incomplet...
PS: si-si, j'ai fait le tri dans les photos mais j'admets n'avoir pas pu faire de choix notamment sur la session bain de soleil des mouettes, une préférence?
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