"Computer games can't affect kids that much. I mean, if Pacman had affected us as kids we'd all be running around in darkened rooms, munching pills and listening to repetitive music." Marcus Brigstocke

mardi 29 avril 2008

Pho-TOs

Comme suggéré (enfin plutôt "critiqué", erm erm) par l'un de mes peu nombreux lecteurs (pauvre de moi que je suis triste et seule au moooonde! Heureusement mon auto-suffisance me permet de me satisfaire de cette auto - one-way communication nouveau concept communicationnel inventé par...moué). Bref, comme sus-décrit, on me suggérasse (oui je fais ce que je veux avec ma conjugaisons, et toc!!!), d'appuyer mon propos sur des preuves. Petit flashback donc sur le séjour écossais.

C'est donc après une course valise au point que nous sautâmes dans le train en partance pour Glasgow 1 min. avant son départ...serré mais efficace. Rien de tel après tant d'efforts et de si bon matin (7h19), qu'un bon sandwich à la salade; et de deviser sur l'évanescente beauté d'Albion.







Glasgow:

Le voyageur en puissance saura de quoi je parle quand je dis que la première image qu'on à d'une ville c'est sa gare (aéroport, port, centre spatial, etc...), et bien pour Glasgow c'est 20/20.





Prête pour de nouvelles aventures chez nos hôtes: allemand et finois, SVP! Mais pas le temps de s'attarder: ils finissent leur mémoires (arg, bientôt notre tour) donc nous partons à l'attaque de la ville.






























Petites pauses gustatives: salon de thé et "Steack & Ale Pie" (alors les mauvaises langues: non, pas en même temps).








Rdv et soirée avec d'autre "couch surfers" (surfer sur canapé). Visite de plusieurs appartement Glasgewgiens en fin de soirée dans un squatt...hors du temps!











Qui n'a jamais rêvé de connaître les noms de différents "shlong" (trad. short-long, coiffur typique des années 1980)? Qui?





NB: n'est-elle pas british cette jeune fille? Devinez son nom (indice ça commence par un P, les Beatles ont fait un album qui contient son nom et c'est, tout comme son style, soooo bri-ish!)...









Souvenir de la salle de bain bleue de Jamie (en partance pour la mine d'or de son père au GHANA) et autres squatteurs...


Découverte d'u autre délice culinaire britannique...mais qu'est-ce donc??


Le temps de noter tous les évènement passionnant, et hop on est reparties direction musées et concert.



























Le lendemain le soleil est au rendez-vous pour nous accompagner jusqu'à Edimbourg.












Petit salut au designer Charles Renie Macintosh, en passant par son salon de thé...miaaaam!




Avant le départ, je me met en condition pour monter au Nord de l'Ecosse, Chapka oblige.

Edinburgh

Alors, comme je vous l'ai déjà expliqué, Edinburgh, au début ça fait...un peu peur.











Passer de Glasgow à Edinburgh ça nous à fait un peu perdre l'équilibre, comme si on était passées du pays de Candy qui sens le toast grillé et où tout le monde est trop sympa, il fait beau, les oiseaux chantent au Mordor où l'on soupçonne un assaut éminent de Nazgûls.


Mais petit à petit, on s'aperçoit que malgré un passé sanglant et plutôt douloureux, finalement Edinburgh c'est comme le whisky: au début ça fait peur mais finalement ça réchauffe le coeur.
































































Nos trois hôtes australiens (oui, oui, ceux qui ont perdu un pari et fini tout nus dans la rue)!










Ouisque Beatha et autres spécialités locales...



















Appel à témoin: si quelqu'un reconnait la signature architecturale de celui est à l'origine de cette navette spatiale en plein coeur de la vieille ville d'Edinburgh, meric de faire suivre!