"Computer games can't affect kids that much. I mean, if Pacman had affected us as kids we'd all be running around in darkened rooms, munching pills and listening to repetitive music." Marcus Brigstocke

mercredi 19 mars 2008

In love with Scotland.


Fraîchement rentrées d'Écosse, un arrière goût de whisky et de cheddar fumé sur la langue, je ne peux m'empêcher de vous résumer, et de me remémorer brièvement la splendeur de ce court voyage. Court mais intense, comme le dit si bien le fameux aphorisme. Seulement quelques jours qui ont parus à la fois un mois et une heure. Tant de découvertes, de fous rires, et de merveilles. Rencontres avec deux villes si écossaises et si différentes l'une de l'autre.

Glasgow, lumineuse, calme et originale, fourmillant de pub accueillants où des groupes en tout genres d'écossais hyper lookés interprètent tour à tour un indie rock proche de la soul et un rock émo sans prétention, presque (presque) attendrissant de maladresse.

Des écrivains philosophes à la sexualité ambiguë, accueillant au demeurant expert en whisky et en série américaine subversive (Californication). Des écrivains philosophes, cheveux en bataille et pantalon troué vivant dans un squat, accompagnés de leur non moins lookée gilfriend au nom plus que british, Penny, entourés de ceux qui ont besoin d'un toit, tous aussi accueillants.
Une virée au salon de thé, avec darling, sandwiches en triangle et scones avec leur coated cream.

Et déjà c'est le départ pour Edinburgh, Embra pour les intimes.
Le choc coupe le souffle et perturbe l'équilibre. Embra est sombre, massive et impressionnante, presque effrayante. Son histoire peuplée d'épidémie de peste, de chasses au sorcière, les immeubles sont imposant et presque noir. Des tourelles menaçantes s'élancent vers le ciel telles des dents acérées.

Mais nos hôtes australiens nous font découvrir le secret de cette cité à l'aspect si austère et grave, la nuit lui donne une douceur ambrée et une chaude odeur de malt tiède réchauffe nos frêles (!) corps gelés. Les tartans flottent sous le vent glacial mais le soleil nous honore et les collines autour de la ville nous donnent un sentiment de liberté, de vie.

Peut-être est ce que la "Visque Beatha" porte bien son nom, peut-être bien que la gentillesse des écossais y est pour quelques chose, nous avons sûrement été envoutées par un sort millénaire venu des tréfonds de la ville engloutie sous la colline où se dresse Edinburgh, en tout cas il est certain qu'après avoir goûté à l'Écosse, ne serait-ce qu'une fois on en redemande...

1 commentaire:

阿古(aug) a dit…

oua merci ca fait plaisir..meme si c pa totalement vrai hehe
jaime bien ton blog ossi meme si il ya pas assez de foto !!!!!! que paso tu as casser ton appareil.......te dis ca parce que jen suis deja a mon 2eme en 6mois :-(

besos